Madrid / Le ministère espagnol de l’Intérieur a alerté une quinzaine de cyber-escroqueries qui utilisent le coronavirus comme leurre, y compris un site Web qui propose de faux diagnostics de la maladie, ont rapporté des sources de ce département.
El País dit que les derniers rapports du Centre national pour la protection des infrastructures et de la cybersécurité (CNPIC) ont alerté les cyber-fraudes dans lesquelles des logiciels malveillants diffusés via des applications et un site Web ont été utilisés pour attirer les victimes avec des informations à identifier symptômes ou cartes de pandémie.
Les criminels s’attaquent aux nécessiteux
Les experts de la cybersécurité interne soulignent dans leurs rapports que les criminels profitent de la vulnérabilité des personnes dans le besoin pour accéder aux informations sur la maladie via Internet et les réseaux sociaux pour connaître les dernières nouvelles de la pandémie ou acheter des masques faciaux par exemple .
Les cybercriminels leur font installer de nouvelles applications sur leurs appareils électroniques ou visiter des pages Web pour obtenir des données personnelles et prendre le contrôle de leurs ordinateurs et téléphones mobiles.
Le virus qui offre des masques et bloque votre ordinateur
Ainsi, un virus informatique a été détecté qui fait des copies de lui-même jusqu’à ce que les ordinateurs qu’il infecte se soient effondrés et qui arrive par le biais d’un message mobile qui propose une application avec laquelle obtenir des masques sanitaires.
Le lien mène à une fausse page pour les acheter qui est utilisée pour voler les données de la carte de l’utilisateur trompé.
Pillage de comptes bancaires
Cinq cas d’applications ont été détectés dont l’objectif principal est de piller les comptes bancaires des victimes.
Dans l’un d’eux, les criminels téléchargent les logiciels malveillants en les camouflant en tant qu’application de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour surveiller «la grande épidémie».
Le logiciel qui détourne et demande une rançon
Les logiciels malveillants considérés comme particulièrement dangereux pour les infrastructures critiques, qui verrouillent les fichiers et les appareils de l’utilisateur, puis demandent le paiement d’une rançon “en ligne”, sont ceux auxquels les experts CNPIC accordent le plus d’attention.
Les autorités ont retracé l’origine d’un site Web malveillant de ces caractéristiques à un homme au Maroc qui a publié une page sur les rencontres sexuelles et la pornographie apparentes.
Dans l’un des messages utilisés pour capturer les victimes par ces cybercriminels, il est demandé au destinataire s’ils pensent qu’ils sont infectés et ne savent pas quoi faire, téléchargez l’application afin d’effectuer un test présumé par le ministère de la Santé et ainsi de «soulager les services de santé et autorités dans leur objectif de contenir la propagation du virus », puis lui demande de la diffuser parmi les contacts.
Les experts de l’intérieur estiment que les dommages économiques causés à la victime sont aggravés par le risque de faux diagnostics et la localisation erronée des foyers d’infection par le coronavirus.
La cybercriminalité a explosé en mars
Le nombre de cybercrimes a grimpé en mars pour coïncider avec la déclaration du coronavirus comme pandémie mondiale.
Le National Cryptologic Center a détecté ce mois-ci une augmentation de 70% du “phishing”, une technique qui consiste à supplanter un autre service pour accéder aux comptes bancaires des victimes.
Dans ce cas, des courriels qui prétendent provenir d’organismes publics espagnols liés au coronavirus sont envoyés. (23 mars 2020, EFEAGRO / PracticaEspañol)
(Traduction automatique)
Comprensión
Lee la noticia y responde a las preguntas
Question 1 |
el número de ciberestafas se han reducido notablemente tras haberse producido la crisis del coronavirus. | |
el Ministerio del Interior asegura que no se ha producido ninguna ciberestafa que esté relacionada con el COVID-19. | |
se están produciendo unas ciberestafas relacionadas con el COVID-19.
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Question 2 |
los expertos descartan que los ciberestafadores quieran aprovecharse de los más necesitados.
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los ciberestafadores se aprovechan de la situación causada por el coronavirus para atraer a sus víctimas. | |
se desconoce por qué ahora ha aumenado el número de ciberestafas. |
Question 3 |
los expertos no creen que los ciberdelicuentes puedan hacerse con las cuentas bancarias de sus víctimas con alguna de esas ciberestafas. | |
se desmiente que haya una ciberestafa relacionada con la adquisición de mascarillas sanitarias.
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algunos atraen a sus víctimas utilizando una web para saber cuáles son los síntomas del COVID-19.
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Question 4 |
los expertos no creen que los ciberestafadores se hagan pasar por la OMS para atraer a sus víctimas.
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los ciberestafadores consiguen controlar el dispositivo móvil después de que su víctima haya instalado la aplicación. | |
aún no está claro si los ciberestafadores logran obtener datos personales de sus víctimas a través de esas aplicaciones. |